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sabato 30 giugno 2012

RECUEILLMENT SUR LA TOMBE DE BOUDIAF : Khaled Nezzar pris à partie par des militants du MJIC

Il y'a beaucoup d'Algériens ( es ) qui croient à n'importe quoi et à quiconque leur lave la cervelle aprés avoir bien arrosé et rempli leurs éstomacs . A travers cette biographie de notre ex super général major ??? : Tous les membres du pouvoir ne cessent de parler de leurs héroisme et leurs honorable participation à la guerre d'Algérie ??? Alors voyons un peu et jugeons cette épopée héroique : Khaled Nezzar (arabe : خالد نزّاné le 27 décembre 1937 à Mechta "Lamtaras" daira de Seriana, est un général et un ancien ministre algérien de la Défense et ancien homme fort du régime (junte militaire) entre 1990 et 1994. Retraité officiellement, il est dit de lui qu'officieusement, il est toujours actif au sein du pouvoir oligarchique des militaires algériens. Né dans une famille chaouie (Aïth Bella) de la commune de Sériana des Aurès, ...fils d'un caporal de l'armée française, il rejoint en 1955 l’école militaire de Saint-Maixent où il poursuit une formation de sous officier appelé. Il déserte de l’armée française vers la fin 1957 (voir : les DAF) et rejoint les rangs de l'ALN. Il restera en Tunisie jusqu’à l’indépendance, avant de devenir l'adjoint de Chadli Bendjedid. Il mène ensuite une carrière militaire, qu'il achève au poste de ministre de la Défense. Il sera l'artisan du coup d’État destituant le président Chadli Bendjedid en janvier 1992 et sera membre du Haut Comité d'État (HCE) mis en place par l’armée qui fera appel à Mohammed Boudiaf en 1992 pour légitimer auprès du peuple la prise de pouvoir. Il sera l'un des artisans de l'interdiction du FIS qui avait remporté les élections législatives. Il échappe d'un attentat en 1993, suite auquel il se désengage petit à petit des postes publics. Il se retire de la vie politique à l'arrivée de Liamine Zeroual en 1994, mais reste très écouté. Il publie en 2000 des Mémoires. Il a été chargé par Chadli Bendjedid de la répression des événements du 5 octobre 1988 en Algérie, où il a autorisé, les enlèvements, la torture et les tirs à balles réelles. Le bilan de ces manifestations sera de 500 morts (170 selon le gouvernement) ainsi que des milliers de blessés. En juin 1991, il est encore une fois rappelé pour disperser un sit-in du FIS sur la place des martyrs à Alger. Encore une fois, le bilan sera macabre avec une dizaine de morts et de blessés. Il est accusé d'avoir largement couvert l'usage de la torture durant la période où il était ministre de la Défense (1990-1993). Une plainte contre lui a été déposée au parquet de Paris en 2001[1],[2], mais classée sans suite après le départ précipité du général pour l'Algérie. Une seconde plainte a été déposée en 2002. L'ancien président algérien Chadli Bendjedid l'a accusé d'avoir été et d'être un « espion pour la France », ce que le principal intéressé a totalement réfuté. Par ailleurs, le général Nezzar a porté plainte[3] pour diffamation contre Habib Souaïdia, l'auteur d'un livre pamphlétaire et accusateur[4]. Il a été débouté[5] en juillet 2002. Arrêté à Genève le 21 octobre 2011 suite à une plainte de l'association TRIAL pour crimes de guerre, il a été interrogé par le ministère public de la Confédération, qui a ouvert une enquête. Il fut relâché après avoir promis de se présenter durant la suite de la procédure[6].

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