Le cercle
présidentiel Algérien frappé par des scandales de corruptions
Bouteflika a donné son
accord pour l’audition de son proche collaborateur Rougab. Les services
de sécurité soupçonnent des cadres de la Présidence d’avoir usé de leurs
fonctions pour obtenir des quotas de logements qu’ils ont distribués à des
proches ou à des personnes recommandées.
Par ailleurs, Rougab
est soupçonné d’avoir tenté d’empêcher, fin 2012, la nomination de Lyès Benidir
à la tête de l’agence AADL; rapporte des sources.
Ainsi, après Chakib
Khellil, ancien ministre de l’Energie, le neveu de l’ancien ministre des
affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, Mohamed Rougab, Amar Ghoul, Mohamed
Raouraoua, Mohamed Ali Boughazi… la guerre des clans au sommet de l’Etat risque
de déborder sur la scène publique, comme tient à le souligner la presse
Algérienne depuis le début de l’année.
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rapporte des sources.
Ainsi, après Chakib
Khellil, ancien ministre de l’Energie, le neveu de l’ancien ministre des
affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui, Mohamed Rougab, Amar Ghoul, Mohamed
Raouraoua, Mohamed Ali Boughazi… la guerre des clans au sommet de l’Etat risque
de déborder sur la scène publique, comme tient à ncien ambassadeur, directeur général du protocole à El Mouradia incontournable dans l'organisation de l'agenda présidentiel .
Logbi Habba est le secretaire général de El-Mouradia chargé de la coordination du travail de la vingtaine de sherpas qui préparent et synthétisent les dossiers pour le patron . Par contre les deux personnes qui exercent une certaine influence sur le président sont ses deux frères Said et Nasser, conseillers spéciaux en matières d'organisations et de management . Et enfin Moulay Guendil, dirécteur de cabinet, arrive derrière le club des 5
Parmi ces 5 , il n'y'a aucun homme d'entre eux qui possède des racines ou une famille en Algérie , il suffit de regarder leurs noms de famille trés bizarres pour refléter la véracité de l'appartenace à l'Algérie . Efféctivement , il y'a encore une infinité qui travaillent régulièrement sans crainte et sans aucune peur de représails.
Le président Bouteflika avec son ami d'enfance de Oujda Yazid Zerhouni .
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