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venerdì 30 ottobre 2015

Louh parle de l’enfant kidnappé, la camerounaise violée et zappe l’outrage de Mezrag


Algérie 1



123louh-Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh, a affirmé jeudi à Alger, à l’issue de sa visite à l’institut national de la criminalistique et de la criminologie de la Gendarmerie nationale, que « l’enquête préliminaire concernant l’enlèvement de l’enfant Amine Yarichene, âgé de 8 ans, se poursuit toujours et tous les moyens scientifiques sont déployés à cet effet pour parvenir à la vérité ».
Interrogé sur l’affaire de la ressortissante camerounaise violée à Oran par un groupe d’individus, M.Louh a indiqué que la police judiciaire a été instruite d’ouvrir une enquête qui s’est soldée par l’arrestation de deux personnes, ajoutant que l’enquête judiciaire était toujours en cours.
Concernant les poursuites à l’égard de militants des droits de l’Homme, le ministre a réaffirmé que l’autorité judiciaire fait son travail conformément aux lois de la République. Il a ajouté que toutes les poursuites judiciaires sont menées conformément à la loi et soumises au juge pour trancher et prononcer le verdict lors d’une séance plénière dans le cadre du respect total de tous les droits de la défense.
Par contre concernant les poursuites éventuelles contre l’ancien terroriste repenti, Madani Mezrag, le ministre a préféré faire comme si cette affaire n’a jamais existé se cantonnant dans une passivité frisant la carence.
L’étrange passivité du ministre
Pour rappel, il y a peu de temps, le ci-devant Madani Mezrag s’est permis de manquer de respect au Président de la République et de le menacer, à partir d’un plateau de télévision.
Tous les juristes savent que la législation pénale punit toute personne qui commet un outrage envers le Président de la République et porte atteinte à son autorité. Voilà que près d’un mois s’est écoulé depuis sans que le ministre de la justice et le parquet d’Alger ne songent à s’autosaisir pour poursuivre l’auteur de la bravade qui a indigné tous les citoyens qui savent que le délit commis par le prétendu repenti est puni par la loi.
Cette défaillance de l’action publique est grave. Elle révèle que ceux dont la mission est de défendre la société à travers l’application de la loi sont en situation de carence.

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