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giovedì 22 agosto 2013

Vingt ans après l’assassinat de Kasdi Merbah, La famille Khalef exige la réouverture du dossier

D'aprés Agérie 360.com.
http://www.algerie360.com/algerie/vingt-ans-apres-l%e2%80%99assassinat-de-kasdi-merbah-la-famille-khalef-exige-la-reouverture-du-dossier/
Cette fois-ci ce n'est pas Un Matoub Lounes, un vrai Algérien, Kabyle, autochtone et Amazigh, mais d'un Marocain de Fès, Kasdi Merbah, fut du même pays de Ben Bella, de Bouteflika etc... La liste est infinie... Pratiquement , l'Algérie n'a jamais été dirigée par un vrai algérien??? De toutes façons on nous a toujours parlé trés mal de la France , des Juifs, des Marocains, des Tunisiens, des Egyptiens, des Libyens et etc.... Je suppose que vous imaginiez tous de quelle genre de personnes qui gouvérnent l'Algérie depuis 62 à aujourd'hui??? Voici une esquisse de Mr Kasdi Merbah : 
Kasdi Merbah, de son vrai nom Abdallah Khalef, né le 16 avril 1938 à Fès ( ville de Juifs)au Maroc et mort le 21 août 1993, est un homme politique algérien, d'origne marocaine. En tant que chef de la Sécurité Militaire, il joue un rôle essentiel au sein du pouvoir algérien de 1962 aux années 1980. Il fut chef du gouvernement de l'Algérie du 5 novembre 1988 au 9 septembre 1989.
Sa carrière au lendemain de l'indépendance[modifier | modifier le wikicode]
Patron incontesté de la « SM » au ministère de la défense nationale d'octobre 1962 à février 1979, proche et fidèle collaborateur de Boumédiène, il participe activement au coup d'État du 19 juin 1965. Au moment de l'agonie de Boumédiène, il était responsable de tous les services de sécurité : police, gendarmerie et sécurité militaire, ce qui explique son rôle déterminant dans le processus de transition.
En janvier 1979, il sort de l'ombre en apportant son soutien au colonel Chadli, qui l'emporte sur ses principaux concurrents. Vice-président du comité central, il abandonne ses fonctions à la tête de la Sécurité Militaire pour devenir le 5 mai 1979 secrétaire général du ministère de la défense nationale. Promu colonel le 28 juillet 1979, il perd cependant son siège au Bureau politique du FLN, réduit de 17 à 7 membres, mais conserve ses fonctions au ministère de la défense.
Lors du remaniement du 15 juillet 1980, Merbah est mis sur la touche. Il quitte le poste-clé de secrétaire général du ministère de la défense pour devenir vice-ministre de la défense, chargé de la logistique et des industries militaires, jusqu'au 12 janvier 1982, date à laquelle il est nommé ministre de l'industrie lourde. Le 16 janvier 1984, il réintègre le Bureau politique comme membre suppléant et le 22 janvier suivant, il passe de l'industrie lourde à l'agriculture et à la pêche, où il élabore la libéralisation des « domaines agricoles socialistes », transformés en « exploitations agricoles collectives » ou individuelles, statut qui ouvre la voie à une privatisation ultérieure.
Membre de la commission d'enrichissement de la Charte nationale en 1986, inspirateur du voyage de Chadli aux États-Unis, président de la commission chargée des institutions, il perd le ministère de l'agriculture et depêche le 15 février 1988 pour celui moins Important de la santé. Technicien hors pair depuis l'époque de Boussouf, Kasdi Merbah est un pur produit du FLN. Pendant longtemps, il fut l'un des barons du boumédiénisme et l'un des piliers des différents gouvernements.
Au lendemain des émeutes d'octobre 1988, il est chargé par le président le 5 novembre 1988 de former un nouveau gouvernement. Conformément aux nouvelles dispositions constitutionnelles adoptées par référendum le 3 novembre précédent, il prend le titre de Chef du gouvernement, qui remplace celui de premier ministre que portait son prédécesseur Abdelhamid Brahimi. Efficace et méthodique, il est cependant limogé le 9 septembre 1989, moins d'un an après sa nomination à la tête du gouvernement pour « tiédeur » dans la mise en œuvre des réformes. Son renvoi a failli ouvrir une crise politique grave au sein du pouvoir, après qu'il eut opposé au président Chadli les arguments juridiques.
Il est remplacé par Mouloud Hamrouche. Après plusieurs mois de réflexion, il s'adresse le 14 mai 1990 aux militants FLN de Tizi Ouzou pour évoquer la crise de ce parti et montrer pour la première fois son intérêt pour la langue berbère. Le 8 octobre, il se sépare d'un parti où il a milité pendant 34 ans en démissionnant du Comité central. Un mois plus tard, le 5 novembre 1990, il dépose au ministère de l'intérieur le dossier d'agrément de son propre parti, le Mouvement Algérien pour la Justice et le Développement (MAJD), sigle voulant dire « gloire » en arabe, qui obtient son agrément le 5 janvier 1991 et dont il est secrétaire général (le MAJD n'a pas de président). Licencié en droit, s'il voue une haine tenace à l'ancien président Chadli Bendjedid. il ne s'est jamais attaqué au Front islamique du salut (FIS) Il conserve même des contacts aussi solides que discrets, avec les représentants de plusieurs courants de l'ex-parti islamiste. Il va tenter à les amener à une table de négociation. Une opération complexe qui va lui coûter la vie. Le 25 juillet 1993, il arrive avec ses interlocuteurs du FIS dissous à un accord sur un projet de processus de retour à la paix et à la réconciliation nationale qui devait être soumis aux autorités du pays.


Kasdi Merbah.

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